Clicky


Entre amis

Le Premier ministre santoméen au chevet de son « ami » Ali Bongo

Le Premier ministre santoméen au chevet de son « ami » Ali Bongo
Le Premier ministre santoméen au chevet de son « ami » Ali Bongo © 2023 D.R./Info241

Le balai de personnalités internationales au chevet du président déchu Ali Bongo se poursuit. Ce samedi 25 novembre, le tour est revenu au Premier ministre de Sao-Tome et Principe, Patrice Emery Trovoada, en séjour officiel au Gabon d’aller faire ses amitiés à Ali Bongo à sa résidence de Libreville. La santé d’Ali Bongo et ses conditions de vie ont été au cœur de cet entretien avec l’ex-président gabonais.

Moov Africa

Ali Bongo renversé le 30 août par son armée, continue d’avoir les attentions de la communauté dite internationale Après la secrétaire général de l’OIF en début de mois, le président déchu dont la famille contrôlait le pays de père en fils depuis les indépendances, a reçu ce samedi la visite du Premier ministre santoméen dont il est visiblement un proche.

Le Premier ministre santoméen chez Ali Bongo

« Je suis venu rendre visite à un ami, m’enquérir de son état de santé », a déclaré l’hôte d’Ali Bongo à la télévision publique gabonaise samedi. « Je vois qu’il va bien. C’était important aussi que je vienne le saluer. Vous savez que dans notre vie il n’y a pas seulement la politique. Il y a une vie avant et après la politique », a martelé Patrice Emery Trovoada.

Il faut dire qu’avant cet entretien privé avec Ali Bongo libre de ses mouvements depuis le 8 septembre, le Premier ministre santoméen a été reçu en audience dans le cadre de cette visite de travail et d’amitié au Gabon par le nouvel homme fort du pays, le général Brice Oligui Nguema. Un entretien qui a tourné autour du calendrier de la transition annoncé dernièrement par le CTRI.

@info241.com
Moov Africa

Newsletter de Info241.com

Inscrivez-vous maintenant pour recevoir notre newsletter quotidienne


Info241.com s'engage à ne pas vous envoyer de messages non sollicités. Si vous changez d'avis, vous pourrez vous désabonner de cette newsletter à tout moment.

Commenter l'article